Ce qu'on fait là. Toute l'histoire.



A l'origine, il y a deux copines qui écrivaient et puis qui n'écrivent plus... Il y avait des concerts, des voyages autour du monde, des Cosmopolitains à la pelle, des virées nocturnes, des weekend à la campagne, des chansons au coin du feu, des découverts à la banque, des rêves pleins la tête...

Et puis elles ont grandi, elles se sont rangées et maintenant elles vont devoir se séparer... Alors, pour avoir le sentiment d'être toujours là, juste à côté, tu sais si tu as besoin, passe donc, elles commencent un nouveau blog.
L'une en Picardie, l'autre en Francilie, chacune à la recherche de ce qui fait encore la beauté de sa nouvelle vie, vie de trentenaire, de mère au foyer, de femme nouvellement engagée, de prof affirmée, d'amie fidèle, toujours.

Ce blog est donc un vaste fourre-tout et un bordel assumé avec une seule contrainte : une photo par jour. Il s'adresse à elle, à elles, à eux, à vous et à moi. Entre donc.

lundi 9 février 2015

Jour #40

De l'inspiration vestimentaire.

Maman Betterave se trouve terne. Les cheveux, le teint, les yeux, la silhouette, les vêtements... jusqu'au bout des ongles, elle est terne. Elle ne sait plus comment s'habiller, ce qui lui va, ce qui ne lui va pas... Avant, c'était facile. Il suffisait de mettre ça, avec ça et d'y ajouter ça... C'était joli. Maintenant, elle ne sait plus.

C'est trop serré, trop moulant, trop informe, trop court, trop large, trop, trop, trop... Et elle ne sait plus vers quoi se tourner, comment s'attifer, quoi faire de sa carcasse molle... 

Elle n'aime plus faire les magasins, elle n'aime plus les vêtements, elle n'aime plus le coiffeur... Plus d'envie, ça tombe bien, plus de temps, non plus.

Alors elle cherche, elle regarde ailleurs, elle n'abandonne pas... Et au détour d'un film, elle trouve de nouvelles idées, une nouvelle fraîcheur et se met un peu à espérer... pour plus tard.



S'inspirer des jolies tenues d'Anaïs Demoustier dans le film Situation amoureuse : c'est compliqué.
Et en écouter la musique à n'en plus finir : I want you back, back, back.

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